Grapho Ty-Pouce ateliers de remédiation du geste d’écriture.

Grapho Ty-Pouce ateliers de remédiation du geste d’écriture.

Ateliers Grapho Ty-Pouce®
👉 Du CE2 au CM2 – de mi-septembre à mi-décembre

Aujourd’hui, beaucoup d’enfants rencontrent des difficultés avec l’écriture : crayon mal tenu, crispations, lenteur, illisibilité, douleurs… Résultat : l’écriture devient une corvée, parfois même un refus.

🌟 Les ateliers Grapho Ty-Pouce® redonnent goût à l’écriture grâce à une approche ludique, sensorielle et bienveillante.
En petit groupe, les enfants :

  • 🖐️ Installer une tenue de crayon fonctionnelle (pince tridigitale, relâchée, stable)
  • 🌀 Renforcer la mobilité des doigts et la dextérité digitale
  • 💪 Développer la souplesse du poignet et la stabilité de l’épaule
  • 📏 Apprivoiser l’espace feuille : lignes, marges, repérage.
  • ⏱️ Gagner en fluidité, rapidité et lisibilité
  • 🧘‍♀️ Apprendre à écrire sans douleur, sans fatigue ni crispation
  • 🏃🏻‍ Gagner en vitesse et en fluidité.
  • © Travailler la stratégie de copie.
  • ✍🏻 (Re)trouver le plaisir d’écrire.

➡️ Ces ateliers collectifs s’appuient sur les principes de la graphopédagogie et de la graphothérapie, mais ne sont pas une rééducation individuelle. C’est une remédiation adaptée aux enfants en difficultés ou en refus d’écriture à l’école, sans pathologie associée.

📅 Séances hebdomadaires de mi-septembre à mi-décembre
📌 Inscriptions ouvertes jusqu’au 17 décembre
⚠️ Contrat d’assiduité demandé

🎯 Objectif : retrouver confiance, aisance et plaisir dans l’écriture !

Programme détaillé sur demande

Inscriptions ouvertes jusqu’au 17 décembre ici.

Je suis Gaucher et alors !

Je suis Gaucher et alors !

Le 13 août, c’est la Journée Internationale des Gauchers ! 

Pour célébrer nos amis de la main gauche, notre blog se pare de nouveaux articles plein de curiosités, d’astuces et de clins d’œil !
Au programme :

  • Je suis gaucher et alors ! Plongée dans la langue française où la “gauche” rime parfois avec maladresse… et découverte des défis mais aussi des super-pouvoirs des gauchers dans un monde pensé pour les droitiers.

  • Outils et apprentissage spécialement conçus pour les gauchers.

  • En cette rentrée, zoom sur la trousse idéale pour les gauchers qui rencontrent des difficultés ou un refus d’écrire.

Dans la langue française, la gauche renvoie à la maladresse. 

Il faut bien reconnaître que dans notre culture, le mot gauche n’a jamais eu très bonne presse. Dans notre langue, On le retrouve dans des expressions peu flatteuses : « avoir deux mains gauches », « se lever du pied gauche », « être gauche »… Autant de formules qui associent la gauche à la maladresse, à la malchance, au malheur, à l’erreur. L’étymologie du mot gauche est d’ailleurs parlante : il vient du latin sinister, qui signifie “sinistre”, “fâcheux” ou “défavorable”.

A l’inverse, la droite est valorisée et bénéficie d’une image positive : « être adroit », « suivre le droit chemin », « être dans son bon droit ».

Cette différence de perception a des racines profondes. Pendant des siècles, la main gauche a été considérée comme la “mauvaise main”. D’ailleurs au cours de L’Histoire, nous retrouvons de nombreuses coutumes et autres rituels qui ont contribués à associer la gauche à un symbole extrêmement négatif. Dans la Rome antique, on observait le vol des oiseaux avant une bataille : partir à droite annonçait la victoire, partir à gauche présageait le malheur. Au Moyen Âge, elle était même associée au diable, et l’Église encourageait l’usage exclusif de la main droite, jugée pure et vertueuse.

Ces croyances ont marqué les mentalités. Jusqu’au milieu du XXe siècle en France, être gaucher était vu comme une anomalie. À l’école, on obligeait les enfants à écrire de la main droite, parfois avec des méthodes brutales : attacher la main gauche, taper sur la main “fautive” ou sanctionner sévèrement. Si vous discutez avec des gauchers plus âgés, beaucoup vous raconteront avoir dû apprendre à écrire ou à manger de la “bonne main”.
Et aujourd’hui encore, dans certains pays d’Asie ou d’Afrique, la pression culturelle et religieuse pousse les enfants à cacher leur main naturelle et à se conformer à la norme droitière.

En fait on ne choisit pas d’être gaucher cela vient du cerveau. Il faut savoir que l’hémisphère gauche de notre cerveau dirige le côté droit du corps et que l’hémisphère droit dirige le côté gauche. Donc chez les gauchers c’est l’hémisphère droit qui est plus dominant et cela favorise souvent la créativité, la motricité fine, le sens de l’espace et de l’image.

Ce n’est sans doute pas un hasard si l’on retrouve parmi eux de nombreuses figures marquantes : Léonard de Vinci, Marie Curie, Picasso, Jimi Hendrix, lady Gaga, Barack Obama, Napoléon, Neil Armstrong, Churchill… ou encore le prince William.

Malheureusement, les stéréotypes ont laissé des traces. Ils ont longtemps fragilisé l’estime de soi des enfants gauchers, nourri un sentiment d’exclusion et parfois freiné leurs apprentissages. Un enfant qui se sent “hors norme” peut se replier sur lui-même… ou perdre le goût d’apprendre et notamment d’écrire.

Les gauchers dans un monde pensé pour les droitiers : défis et atouts.

Être gaucher, ce n’est pas être maladroit… c’est surtout vivre dans un monde conçu par et pour les droitiers. En effet, on ne compte que 10% de gauchers dans la population mondiale. Cela varie selon les pays. En 1990, le Japon ne comptait que 5% de gauchers. Il ne faut pas oublier que pendant plusieurs siècles, les gauchers ont été contrariés c’est-à-dire qu’on les a forcés à utiliser de préfèrence la « Bonne main » soit la main droite notamment pour écrire.

Je voudrais noter que ce n’est pas la personne elle-même qui est réprouvée mais l’usage de cette mauvaise main par essence !

Le gaucher : le champion de l’adaptation.

Donc vivant dans un monde de droitier au fur et à mesure de sa croissance, le petit gaucher va devoir s’adapter.

Tout petit, ça ne pose pas vraiment problème : on se lève du pied gauche sans réfléchir. Mais dès la maternelle, ça se complique. Les ciseaux de droitier ? trop difficile voire impossible de suivre les pointillés. Le taille-crayon ? Une autre épreuve.

En primaire, ça se corse encore : le stylo-plume qui bave parce que la main repasse sur l’encre fraîche, la règle graduée à l’envers pour tracer 2,6 cm, les changements de place en classe pour éviter de se cogner le coude avec son voisin droitier.

Et à la maison, même combat avec tous ces objets du quotidien qui semblent avoir été créés pour leur compliquer la vie : poignées de porte, appareils photo, casseroles à bec, tire-bouchons, ouvre-boîtes, robinets, portes de frigo, cuillères à pamplemousse, sans parler des réflèxions des grands-parents « Non, le couteau se tient de la main droite »

Et ça continue même adulte avec les outils de bricolage ou de jardinage …

Puis vient le jour du permis de conduire, le levier de vitesse planté à droite rappelle que, décidément, être gaucher, c’est un sport d’adaptation quotidienne et permanente. Mais au fond, c’est ça qui leur forge le caractère… et certains deviennent ambidextres ou développent des stratégies qui d’ailleurs leur font gagner du temps. Enfant ordinateur souris main droite – crayon main gauche.

Des questions ou vous souhaitez prendre un rendez-vous pour faire le point sur l’écriture ou la posture de votre enfant ou votre adolescent gaucher ? Contactez-nous ici

Les jeux, alliés précieux pour préparer l’écriture

Les jeux, alliés précieux pour préparer l’écriture

Avant de tracer ses premières lettres, l’enfant doit développer sa motricité fine et sa dextérité dès son plus jeune âge.  En effet, une bonne coordination œil-main et une gestion efficace de l’espace sont des compétences essentielles à l’apprentissage de lécriture. Le développement de la moticité fine peut se construire progressivement à travers des expériences ludiques et variées. Les jeux de manipulation et de réflexion offrent notamment un terrain d’apprentissage idéal, permettant à l’enfant d’exercer sa dextérité tout en s’amusant.

Les bienfaits des jeux de manipulation

Les jeux impliquant des manipulations précises, comme le loto, le memory, le mikado ou encore les jeux de plateau, sollicitent directement les muscles de la main et des doigts. En attrapant, en positionnant et en déplaçant des objets, l’enfant renforce sa tonicité musculaire et affine son contrôle gestuel notamment sa pince pouce-index.

  • Affinement de la pince digitale : Manipuler des cartes, des jetons ou des pions encourage l’enfant à utiliser son pouce, son index et son majeur en synergie, facilitant ainsi l’adoption d’une bonne préhension du crayon.
  • Coordination et précision : Les mouvements précis requis pour empiler, aligner ou emboîter des éléments entraînent l’œil et la main à travailler ensemble, une compétence clé pour tracer des lettres avec fluidité.
  • Structuration spatiale : Placer des pièces sur un plateau implique de repérer un emplacement, d’orienter et de positionner un élément correctement. Ce processus est essentiel pour bien se repérer sur une feuille, aligner ses mots et respecter les interlignes.

Dans les premières années de maternelle (petite et moyenne section), ces jeux doivent être intégrés quotidiennement, car ils posent les bases des futurs apprentissages scolaires.

Des activités variées pour progresser.

🏗 Dominos et planchettes de construction (type Kapla)

Ces jeux aident l’enfant à comprendre des notions essentielles comme l’alignement, l’espacement et l’orientation, qui sont directement transposables à l’écriture. Plus les pièces sont petites et les constructions complexes, plus l’enfant développe sa précision et son contrôle moteur.

🧩 Puzzles et encastrements

Les puzzles sollicitent le repérage spatial, la coordination œil-main et la logique. L’enfant commence par des encastrements simples, puis évolue vers des puzzles plus complexes, renforçant ainsi son sens de l’observation et sa capacité à analyser les formes et les proportions.

 Perles à enfiler et découpage

Les jeux de perles permettent d’affiner la motricité des doigts et d’améliorer la dissociation des mouvements. Le découpage, quant à lui, renforce la force et la coordination des doigts tout en entraînant le poignet et l’avant-bras, deux éléments clés pour un bon contrôle du crayon.

Les jeux, une source d’apprentissage complète

En plus de développer des compétences motrices, les jeux permettent à l’enfant d’exercer de nombreuses aptitudes cognitives et sociales essentielles à sa réussite scolaire :

  • 🎯 Précision et motricité fine
  • 🔍 Logique et raisonnement
  • 📏 Repérage spatial et coordination œil-main
  • 🎨 Reconnaissance des couleurs, formes et grandeurs
  • 🔢 Sens des quantités, numération et suites logiques
  • 🤝 Respect des règles et interaction sociale

Jouer pour mieux apprendre

L’apprentissage de l’écriture ne se limite pas à la prise du crayon. Il repose sur une multitude de pré-requis développés naturellement à travers le jeu. Chaque moment de jeu partagé est une occasion d’apprendre et de progresser en douceur.

Alors, n’hésitez pas : encouragez votre enfant à manipuler, empiler, aligner, encastrer… Chaque geste effectué dans un contexte ludique contribue à l’amener vers une écriture plus fluide et confortable !

En attendant Noël, un Calendrier de l’Avent spécial écriture manuscrite. Jours 6 à 10 : La ligne, l’inclinaison de la feuille, le papier, l’annulaire, la dominance manuelle

En attendant Noël, un Calendrier de l’Avent spécial écriture manuscrite. Jours 6 à 10 : La ligne, l’inclinaison de la feuille, le papier, l’annulaire, la dominance manuelle

Un calendrier de l’Avent pour jouer avec l’écriture manuscrite

Plongez dans la magie de l’Avent avec notre calendrier dédié à l’écriture manuscrite !

Chaque jour, une nouvelle case vous invite à résoudre une devinette thématique qui révèle un aspect fondamental de l’apprentissage de l’écriture. Pensé comme un mélange d’amusement et de pédagogie, ce calendrier est une manière ludique d’explorer les secrets de l’écriture tout en renforçant vos connaissances.

Les devinettes, conçues pour captiver petits et grands, mettent en lumière des éléments essentiels comme la motricité fine, la posture, les gestes de l’écriture, et bien plus encore. Chaque réponse vous ouvre la porte à une activité ou un conseil pratique pour enrichir cette aventure manuscrite.

À quoi s’attendre derrière les cases ?

Des devinettes comme :

  • « Je suis la partie de la main qui donne vie à la boucle et au trait, qui suis-je ? »
  • « Toujours bien placé sur ta table, je t’aide à tracer droit et lisible. Qui suis-je ? »
  • « Pour écrire fluide et sans fatigue, ma souplesse est une clé. Où suis-je dans ton bras ? »

En répondant aux énigmes, vous découvrirez des astuces pour améliorer votre écriture ou celle des enfants, tout en profitant de la magie de Noël. 🎄✍️

Prêts à relever le défi et à enrichir votre quotidien d’écriture ? Ouvrez la première case et laissez-vous guider par le plaisir d’apprendre en jouant !

Retrouver les défis des jours 1 à 5 ici

 

Jour 6 :

Réponse :

La dominance manuelle

La dominance manuelle : une préférence naturelle

La dominance manuelle désigne la préférence naturelle d’une personne pour l’utilisation d’une main plutôt que l’autre dans les tâches nécessitant précision et coordination, comme écrire, dessiner ou découper. Cette dominance, généralement établie entre 3 et 6 ans, est liée au développement cérébral et se manifeste par une main dominante (droite ou gauche) qui devient plus habile et plus rapide.
Un rôle clé dans l’apprentissage de l’écriture
Dans l’apprentissage de l’écriture, la dominance manuelle joue un rôle clé dans l’apprentissage de l’écriture, car une dominance non affirmée ou mal établie peut entraîner des difficultés motrices, de coordination ou de spatialisation. En effet, non affirmée ou ambidextre, elle peut entraîner des difficultés comme des lettres mal formées, une lenteur ou une fatigue accrue. Identifier et accompagner cette préférence est donc crucial pour un apprentissage harmonieux.

Jour 7 :

Réponse : 

L’annulaire.

Les Origines et le Rôle de l’Annulaire

L’annulaire, quatrième doigt de la main, tire son nom du latin « anulus », signifiant « anneau ». Ce nom fait référence à sa fonction symbolique et culturelle : c’est traditionnellement le doigt où l’on porte l’alliance, notamment dans de nombreuses cultures occidentales. Cette coutume remonte à l’Antiquité, où les Égyptiens puis les Romains croyaient qu’une veine, la « vena amoris », reliait directement ce doigt au cœur, symbole de l’amour et des émotions.

Sur le plan anatomique

Sur le plan anatomique, l’annulaire joue un rôle essentiel dans la coordination et la force de la main. Bien qu’il soit souvent perçu comme l’un des doigts les moins indépendants en raison de son attache partagée avec les tendons des doigts voisins, il est crucial pour maintenir l’équilibre et la puissance de la prise. Il agit en synergie avec les autres doigts, notamment dans les gestes de préhension fine et les mouvements nécessitant de la précision.

Dans l’apprentissage de l’écriture,

Dans l’apprentissage de l’écriture, l’annulaire soutient la main en stabilisant les mouvements effectués par les doigts voisins. Sa force et sa mobilité, bien que limitées, participent à l’équilibre global de la pince tri-digitale (pouce, index, majeur). Ce doigt modeste, à la fois discret et fondamental, illustre parfaitement l’harmonie entre symbolisme et fonction pratique.

Jour 8 :

Réponse :

Le parchemin ou le rouleau de soie

L’histoire fascinante du papier : des origines à nos jours

Le papier trouve ses racines en Chine, autour de l’an 200 avant notre ère, grâce à Cai Lun, un fonctionnaire de la cour impériale. À l’origine, il était fabriqué à partir d’écorces d’arbres, de fibres de chanvre, de chiffons et même de filets de pêche. Cette invention révolutionnaire remplaça progressivement les tablettes d’argile, le papyrus et la soie, bien plus coûteuse.

Au fil des siècles

Au fil des siècles, le secret du papier voyagea à travers le monde, porté par les échanges culturels. Les Arabes perfectionnèrent sa fabrication au VIIIe siècle, introduisant l’usage des moulins à papier, avant que l’Europe ne l’adopte au Moyen Âge.

L’invention de l’imprimerie

Avec l’invention de l’imprimerie par Gutenberg au XVe siècle, la demande explosa, propulsant le papier comme un support universel de savoir et de créativité. Aujourd’hui, fabriqué principalement à partir de pâte de bois, il accompagne notre quotidien sous mille formes, des livres aux emballages.

Le papier, témoin de l’histoire humaine, reste une passerelle essentielle entre l’homme et ses idées.

Jour 9 :

Réponse :

La ligne.

L’importance de la ligne et des lignages dans l’apprentissage de l’écriture.

Dans l’apprentissage de l’écriture, les lignes et les lignages jouent un rôle essentiel. Ils ne sont pas de simples repères graphiques, mais de véritables guides pour structurer le geste et favoriser une écriture fluide et lisible.

La ligne comme repère spatial :

Elle aide l’enfant à positionner correctement les lettres, à respecter les tailles (petites, grandes, boucles) et à maintenir un alignement harmonieux. Sans ce cadre, les lettres risquent de « flotter » ou de s’éparpiller, rendant l’écriture désordonnée et difficile à lire.

Le lignage comme outil progressif :

Les différents types de lignages, comme les Seyès ou les grands carreaux, accompagnent l’évolution de l’enfant. Ils offrent des repères pour différencier les hauteurs des lettres (corps, hampes, jambages) et stabiliser le geste au fil du temps.

Un support pour la concentration :

Les lignes permettent aussi de focaliser l’attention, de limiter les erreurs de placement et d’encourager une posture d’écriture plus détendue.

En résumé, la ligne et les lignages ne sont pas des contraintes, mais des alliés précieux pour développer une écriture précise et esthétique. C’est pourquoi il est essentiel de bien choisir le lignage en fonction de l’âge et du niveau de l’enfant et de lui enseigner à en tirer pleinement parti.

Jour 10 :

Réponse :

La feuille.

L’importance de l’inclinaison de la feuille dans l’écriture 

Saviez-vous que l’inclinaison de la feuille joue un rôle essentiel pour écrire confortablement et efficacement ?

📄 Pour les droitiers, il est recommandé d’incliner la feuille vers la gauche.
📄 Pour les gauchers, la feuille doit être orientée vers la droite.

Pourquoi ?
– Cela permet au bras et à la main d’être dans une position naturelle, évitant ainsi les tensions musculaires.
– Cela améliore la lisibilité de l’écriture en alignant les lignes et les lettres avec le sens naturel de la main.
– Cela limite les frottements et les bavures (surtout pour les gauchers qui écrivent souvent en « tirant » le stylo).

Cette astuce, simple mais cruciale, contribue à une posture plus détendue, favorise une meilleure motricité fine, et donne envie d’écrire avec plaisir et fluidité. N’hésitez pas à essayer avec vos élèves ou enfants et à observer la différence ! 

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Uniquement sur rendez-vous :

5 rue de Cronstadt 29200 BREST

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Tél. 06.31.77.53.07

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Graphothérapie et Graphopédagogie : Une Alliance pour Réapprendre à Écrire et à S’épanouir

Graphothérapie et Graphopédagogie : Une Alliance pour Réapprendre à Écrire et à S’épanouir

L’écriture manuscrite, souvent perçue comme une compétence de base, joue un rôle crucial dans le développement cognitif, émotionnel et scolaire des enfants. Pourtant, à l’ère du numérique, l’importance de cet apprentissage tend à être sous-estimée. De plus, pour certains élèves, ce processus peut devenir une source de frustration et de difficultés. C’est ici que la graphothérapie et la graphopédagogie interviennent, deux disciplines complémentaires qui œuvrent ensemble pour aider les enfants, les adolescents et les adultes à surmonter leurs difficultés d’écriture tout en favorisant leur épanouissement personnel.

La Graphothérapie : Soigner les Maux par les Mots

La graphothérapie est une méthode qui utilise l’écriture manuscrite comme moyen d’intervention pour aider les individus à surmonter des difficultés liées à l’écriture. Ces difficultés peuvent inclure une écriture illisible, lente, douloureuse ou encore un manque de fluidité et de vitesse voire une aversion profonde pour l’acte d’écrire. Pour certains enfants et adolescents, ces problèmes peuvent entraîner une baisse de confiance en soi, nuire à leur estime de soi, à leur succès scolaire et à leur motivation.

Le rôle du graphothérapeute est d’analyser l’écriture du patient pour en comprendre les particularités et les blocages. Après une évaluation minutieuse, est proposé un programme d’exercices personnalisés. Ces exercices sont conçus pour corriger les gestes d’écriture inappropriés, améliorer la posture et renforcer la motricité fine. L’objectif est de rendre l’écriture plus fluide et agréable, afin que l’enfant, l’adolescent ou l’adulte retrouve le plaisir d’écrire et la confiance en ses capacités.

La Graphopédagogie : Une Approche Pédagogique Personnalisée

La graphopédagogie, quant à elle, se concentre sur l’apprentissage et le perfectionnement de l’écriture manuscrite, en particulier chez les enfants d’âge scolaire. Contrairement à la graphothérapie, qui intervient lorsque des troubles sont déjà présents, la graphopédagogie agit en amont, pour prévenir l’apparition de ces difficultés en enseignant les bases d’une écriture cursive efficace et agréable.

Un graphopédagogue aide les élèves à acquérir une bonne technique d’écriture dès le départ. Cela inclut l’apprentissage des bonnes postures, la tenue correcte du stylo et le mouvement précis des doigts.

La graphopédagogie s’adapte aux besoins individuels de chaque élève, tenant compte de son rythme d’apprentissage, de ses préférences motrices et de ses particularités cognitives. Cette approche éducative vise à rendre l’acte d’écrire plus naturel et efficace.

Les séances de graphopédagogie sont souvent ludiques et interactives, ce qui permet aux enfants de progresser rapidement sans ressentir de pression. Cette approche personnalisée renforce non seulement leurs compétences en écriture, mais aussi leur confiance en eux et leur plaisir d’apprendre.

Une Synergie Bénéfique pour Tous

La combinaison de la graphothérapie et de la graphopédagogie offre une réponse complète et efficace aux défis posés par les troubles de l’écriture. Ensemble, ces deux disciplines permettent de prendre en charge l’enfant, l’adolescent ou l’adulte de manière holistique. La graphothérapie peut intervenir pour résoudre des blocages ou corriger des anomalies de geste, tandis que la graphopédagogie peut ensuite prendre le relais pour affiner et perfectionner l’écriture.

En plus de retrouver une écriture fonctionnelle et esthétique, les enfants, les adolescents et les adultes bénéficiaires de ces méthodes voient souvent une amélioration significative de leur estime de soi, de leur concentration et de leur réussite scolaire ou professionnelle. Dans un monde où l’écriture manuscrite reste une compétence essentielle, la graphothérapie et la graphopédagogie apparaissent comme des alliées précieuses pour redonner aux mots toute leur puissance et leur beauté.

À l’ère du numérique, l’écriture manuscrite reste un pilier fondamental du développement personnel et académique. Que ce soit pour remédier à des difficultés existantes ou pour prévenir leur apparition, l’association de la graphothérapie et de la graphopédagogie représente donc une approche innovante et complète pour garantir non seulement les compétences techniques nécessaires, telle qu’une écriture cursive fluide, claire, lisible, bien disposée dans la page et le lignage, mais aussi la confiance en soi indispensable pour réussir dans leur parcours scolaire et au-delà.

Alors, votre enfant, votre adolescent ou vous-même présente :

  • Mauvaise tenue du crayon ou du stylo ?
  • Écriture illisible, imprécise, irrégulière, déstructurée, manque de fluidité, trop appuyée, tremblante, non respect des lignages ?
  • Manque de soin (écrits sales et/ou retouchés), et/ou mise en page désordonnée ?
  • Écriture fatigante : besoin de fournir un effort trop important pour écrire ?
  • Lenteur dans les écrits ou vitesse excessive ?
  • Privilégier la forme de l’écriture au détriment de la vitesse, notamment par incapacité à gérer les deux en même temps ?
  • Problèmes liés à l’apprentissage et/ou aux facteurs psychologiques autour de cet apprentissage ?
  • Non automatisation du geste ?
  • Douleurs à l’écriture, se situant à la main, au poignet, aux doigts, au bras, à l’épaule et/ou au dos ?
  • Rejet de l’écriture ou crampe de l’écrivain ?
  • Ecriture non représentative de la personnalité ?

N’hésitez pas à contacter le cabinet de graphothérapie.

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Agame-Brest-Graphothérapeute
Graphothérapie et Psychopédagogie positive au service des difficultés d’apprentissage.

Graphothérapie et Psychopédagogie positive au service des difficultés d’apprentissage.

Spécialisée dans l’accompagnement d’enfants, adolescents et adultes présentant un trouble du neurodéveloppement ou des difficultés d’apprentissage.

Difficultés scolaires ? Manque de méthodologie ? Ecriture illisible ? Gestion des devoirs compliquée ? Troubles Dys ? TDAH ?

La Psychopédagogie et la Graphothérapie peuvent aider votre enfant dans sa scolarité et ses apprentissages.

J’accompagne les enfants à partir de 6 ans, les adolescents et les adultes, en présentiel à Brest ainsi qu’en visio.